Après un baccalauréat littéraire, Aude Prieur fait le choix d’une licence en histoire et archéologie à l’université François-Rabelais de Tours. Après l’obtention avec mention de cette dernière, ses expériences (trop) poussiéreuses sur les chantiers archéologiques et sa passion pour l’histoire la pousse plutôt vers un master en histoire ancienne sous la direction de Catherine Grandjean.
Elle travaille ainsi sur l’histoire de Sparte à travers les sources en grec ancien et sur l’histoire de l’alimentation dans un contexte particulier : les Hyakinthies de Sparte, une panégyrie en l’honneur d’Hyacinthe et d’Apollon. Après deux années de recherches, elle obtient un master 2 en Sciences Historiques avec mention et décide de mélanger ses périodes favorites pour continuer en doctorat : l’histoire ancienne et l’histoire contemporaine.
Elle commence à élaborer son sujet de thèse (L’enseignement de l’histoire ancienne sous le régime de Vichy) avec Pascal Payen de l’université Jean-Jaurès de Toulouse mais abandonne vite, ayant le désir d’écrire pour inventer et non plus au service de la recherche.
Son mémoire de recherches est publié aux éditions EPU : Les Hyakinthies à l’époque hellénistique, un témoignage de l’évolution de Sparte ? et lui mettra le pied à l’étrier pour la suite de sa carrière d’écrivaine. Elle conserve sa passion d’historienne que l’on retrouve dans les romans historiques où elle mène de longues recherches dans l’Histoire pour dénicher les petites histoires méconnues du grand public.
Enseignante d’histoire-géographie et de français en lycée pendant deux ans, elle met à profit ses années d’études et son expérience d’écrivaine.
Étant également flutiste de formation, Aude a fait de sa passion son métier, elle est musicienne professionnelle depuis plus de 20 ans (flûtes, chant et percussions). Elle mélange ses deux violons d'Ingres dans Auniris et dans son projet solo portant son nom Aude Prieur.