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• Feuillet :

  Feuille de papier imprimée ou dactylographiée, bien sûr, mais calibrée pour contenir une certaine quantité de texte, car, dans certains cas, une rémunération au feuillet peut être envisagée (traductions, commande de texte). Traditionnellement, on parle de 25 lignes de 60 signes. L’Association des traducteurs littéraires de France tient à cette norme rigoureuse pour l’évaluation du coût de la traduction. Cependant, si vous écrivez un roman, vous pouvez jauger votre mise en page par le compte automatique des caractères. Lorsque vous avoisinez les 1500 caractères par feuillet plein (les débuts ou fins de chapitres ne sont que des pages partiellement inscrites), c’est assez aéré pour une lecture agréable. La poésie, bien entendu, ne tient pas ces comptes, et peut se permettre la splendide isolation du quatrain.